mercredi 11 août 2010

Rando Bruxelles + Expo Medici

Ce dimanche 8 août 2010 Ivonne et Marko nous avaient préparés une journée à la Capitale : l’expo I Medici "Une Renaissance en papier" et un parcours découverte en ville.


Nous étions +35 à participer au départ du site du Cinquantenaire, Arnaud (le fils de Jacky) nous conduisait sur place. Le temps était au gris au départ mais au total nous avons eu une journée lumineuse et chaude.

A 10h, nous sommes rassemblés sur le parvis du Musée, nous avons une bonne heure pour découvrir l’exposition en papier d’Isabelle de Borchgrave.


C'est la première fois qu'une exposition importante des oeuvres de l'artiste belge Isabelle de Borchgrave est organisée dans son pays d'origine. Vingt-neuf costumes, qui ont déjà été exposés au Palazzo Medici à Florence se retrouvent à Bruxelles. Ces créations, réalisées en papier coupé, plié, collé et peint à la main, selon une technique du trompe-l’oeil qui leur donne toute l'apparence de la réalité, sont inspirées par la mode florentine en usage à la cour des Médicis à l'époque de Laurent le Magnifique (1449-1492). Du drapé aux coloris en passant par la richesse des coiffes et la sophistication des bijoux, l'illusion est absolue. Isabelle de Borchgrave, avec la rigueur d'une historienne de l'art, s'appuyant sur une recherche méticuleuse, imite à la perfection la soie, le velours, les broderies ou la dentelle de jadis. Ses oeuvres, d'une incroyable richesse, plongent le spectateur au coeur d'une époque disparue.


Une Renaissance en papier nous propose une rencontre au-delà des siècles, avec l’une des familles les plus emblématiques de l’histoire italienne. Isabelle de Borchgrave nous invite à une promenade dans l’esthétique et l’histoire. Une trentaine de costumes en papier mettent en évidence l’élégance de l’époque dans les moindres détails et redonnent vie aux tableaux des grands maîtres tels que Botticelli, Bronzino ou Gozzoli.

Au sortir du Musée, le temps est au beau fixe et idéal pour découvrir la ville. Nous traversons le parc et contournons la Grande Mosquée.


La Grande Mosquée de Bruxelles, située dans le parc du Cinquantenaire est la plus ancienne mosquée de la ville. Elle est également le siège du Centre Islamique et culturel de Belgique. Le bâtiment d'origine a été construit par l'architecte Ernest Van Humbeek dans un style arabisant, pour constituer le pavillon oriental de l'Exposition nationale de Bruxelles de 1880. Le pavillon abritait alors une fresque monumentale: le "Panorama du Caire" qui remporta un important succès. Au XXe siècle le bâtiment faute d'entretien se dégrade peu à peu. En 1967, le roi Baudouin fait don de l'édifice au roi Faysal ibn Abd al-Aziz d’Arabie saoudite, en visite officielle en Belgique, afin de le transformer en lieu de culte, à l'usage de la communauté musulmane de Belgique qui devient importante à cette époque. Aujourd'hui, elle accueille également une école et un centre de recherche islamique dont les objectifs sont de faire connaitre la foi musulmane. Le centre dispense aussi des cours d'arabe aux adultes et aux enfants, ainsi que des initiations à l'islam.

Puis nous nous dirigeons vers les squares Marguerite-Ambiorix et Marie-Louise. Endroits qui nous avaient été savamment contés par Brigitte lors d’une visite précédente relative à l’Art Nouveau.

Au passage, nous ré admirons la maison Saint- Cyr restaurée.




Hôtel particulier du peintre Georges Léonard de Saint-Cyr.



Construite en 1903 par l'architecte Gustave Strauven. Délirante et magistrale à la fois, cette maison découvre la face flamboyante de l'"Art Nouveau". La maîtrise de l'architecte est occultée par l'embrasement du décor. G.Strauven apparaît dans cette oeuvre comme le continuateur du Gothique flamboyant, du Baroque et du Rococo pour qui la virtuosité occulte l'art véritable.












Notre progression se poursuit à travers les rues très calmes en ce jour dominical : Hamstraat- la rue du Marteau (non loin le bâtiment très voyant du créateur, Jean-Luc Wallraff, qui abrite actuellement le siège du CDH) pour les artères de la petite ceinture de Bxl et nous prenons la direction du Jardin Botanique, sous ce soleil généreux nous pouvons déjeuner en terrasse.



Ensemble composite et cohérent de trois styles, le Botanique est agencé en terrasses. Au niveau le plus bas, de style anglais, un étang et le doux murmure d'un jet d'eau tranchent avec le bruit de la circulation. Plus haut, c'est le plateau intermédiaire, de style italien, avec ses parterres et ses fleurs. Le plateau supérieur, aux plantations géométriquement régulières, est de style français. Lieu d'exposition, le bâtiment baroque, oeuvre de Syus, Gineste et Meeus, est composé d'une rotonde centrale à coupole, encadrée de deux ailes terminées par des pavillons où se situent deux orangeries en maçonnerie. Dans les ailes, les verrières sont adossées à la terrasse supérieure. Aujourd'hui, c'est le centre culturel de la communauté française de Belgique.

L’après-midi nous conduit rue Royale et bien sûr un arrêt s’impose devant la colonne du Congrès.

Erigée en 1850, l’oeuvre de Poelaert est surmontée d'une statue représentant Léopold I. La Colonne immortalise le Congrès National de 1831 qui proclama la Constitution belge. Au pied du monument brûle la flamme éternelle, hommage au Soldat inconnu de la Première Guerre Mondiale (1914-1918) et aux héros de la guerre 1940-1945












Nous continuons en direction de la Cathédrale St Michel et Gudule, 1/4h de visite nous est proposé.




L’édifice est si remarquable et appelle l’attention qu’un peu on oublierait l’heure….

La plus ancienne et claire mention de cette église à cette place date de 1047. Le duc Lambert II avait fait construire alors sur le mont du moulin une église en style roman en l'honneur de Saint-Michel 'archange qui était aussi le patron de Bruxelles. Le duc a fait transférer les reliques de Sainte Gudule vers cette église le 16 novembre 1047, jour de l'inauguration de l'église romane. Depuis cette église est appelée officiellement ' la collégiale de Saint Michel et Sainte Gudule '. Aussi 'étrange que cela puisse paraître la cathédrale est appelée officiellement aujourd'hui la ' cathédrale de Saint Michel'. En 1967, lors de la promotion de l'église en une cathédrale du nouvel évêché Malines-Bruxelles. Le remplacement de l'église romane par une église gotique ne s'est pas passé en un deux trois. On a commencé en 1220 avec la construction de l' ambulatoire et des chapelles rayonnantes, pout terminer avec la construction de deux tours de l'ouest. La nef et le transept court, recouvert par des nervures, ont été construits entretemps. Les tours du sud étaient terminées en 1451, celle du nord en 1475. Plus tard l'ambulatoire et les chapelles rayonnantes ont été démolies, pour faire place pour la Chapelle du Saint Sacrement au nord (1539) et la chapelle de la Sainte Vierge (1651-1656)au sud. La chapelle dans l’abside été remplacée en 1672-1675 par un petit bâtiment de style baroque. Beaucoup d'architectes ont aidé à ce projet. Nous en nommons quelques un : au 14ème siècle Jacob van Thienen, Jan van Ruysbroek et Gilles de Briedere. Les transformations ultérieures avaient plutôt un caractère de réparation, et n'ont en somme ajouté presque rien. L'escalier monumental a été ajouté en 1860 et le portail au nord date de 1881-1886 (par Louis de Curte).



Nous ne sommes qu’à quelques pas de la Grand-Place et il est impensable de ne pas y fouler ses pavés, sentir son atmosphère si cosmopolite, se confondre parmi la foule et encore, regarder cette place dont le patrimoine classé relève d’une richesse et d’une incomparable splendeur.




La Grand-Place est la place centrale de Bruxelles. Mondialement renommée pour sa richesse ornementale, elle est bordée par les maisons des corporations, l'Hôtel de Ville, L'Hôtel de Ville a été construit entre 1402 et 1455. Il est le seul témoin architectural de la place du Moyen Âge et la Maison du Roi, Charles Quint le fit à son tour reconstruire en style gothique tardif, fort semblable à celui que l'on peut voir actuellement, quoique sans tours ni galeries.
Elle est généralement considérée comme l'une des plus belles places du monde.
Elle a été inscrite en 1998 sur la liste du patrimoine mondial de l'UNESCO.

Après avoir retrouvé ses quelques 30% perdus, Ivonne nous invite pour gravir une petite dénivelée en l’occurrence le célèbre Mont des Arts., l’Albertine et la place Royale, un univers proche de la Gare centrale lui aussi rénové.

Et face à nous l’ancienne bâtisse Old England qui aujourd’hui est le Musée des Instruments de Musique.


Dès leur ouverture, à la fin du XIXe siècle, les luxueux magasins Old England acquirent une grande réputation grâce à leur édifice très particulier. Fleuron de l'Art Nouveau de par son entrée, le reste du bâtiment se plaçait en parfaite harmonie avec le complexe de la Place Royale de style néo-classique. C'est dans ce joyau architectural que le MIM a élu domicile en juin 2000. Ce sont surtout ses extraordinaires collections qui font la réputation du musée. C'est en fait un véritable tour du monde musical qui vous est proposé, au travers de quelques 1.150 pièces exposées. Le MIM, c'est bien sûr en endroit à vivre... en musique. Un système de casques à infrarouges permet à chacun d'explorer les parcours thématiques en écoutant le son mélodieux des instruments présentés.

Une visite du Palais Royal nous est bien proposée mais la file d’attente est longue qu’il est préférable de continuer notre périple à l’aise.

Le Palais royal de Bruxelles, qui n’abrite plus aujourd’hui que les activités officielles du souverain belge, est né de la réunion de quatre hôtels particuliers construits au XVIIIe siècle : Walckiers, Bender, Begiojoso et Belle-Vue.

Au moment de l'accession au trône de son époux Albert II en 1993, la reine Paola a entrepris un vaste programme de rénovation et de valorisation des demeures royales. Elle crée un comité artistique chargé d'intégrer l'art contemporain belge dans le palais royal de Bruxelles. Cette démarche déboucha sur l'inauguration en 2002 de trois oeuvres d'artistes belges : une série de photos de Dirk Braeckman, sept toiles de la peintre Marthe Wéry et le revêtement du plafond de la salle des Glaces par Jan Fabre. En 2004, la reine Paola inaugure une quatrième oeuvre d'art : les Fleurs du Palais royal conçue par Patrick Corillon et installée dans la salle Empire.

A regret, nous laissons Brigitte et sa Maman entamer la visite et nous prenons la direction de la Place du Trône ensuite la rue du Luxembourg, le quartier européen rénové à grands frais jusqu’à la gare du Luxembourg elle aussi métamorphosée, nous faisons notre dernière halte sur la place dont la majeure partie des bistrots ne parlent que l’anglais.

Nous voilà repartis pour les derniers km de la journée, nous traversons ces ensembles architecturaux très contemporains, c’est le lieu des Grandes Institutions s’y côtoient : le Parlement européen, Le Résidence Palace, Le Juste Lipse, Le Berlaymont….que de changements dans cette ville !

Le bâtiment Berlaymont est le siège de la Commission européenne, à Bruxelles. Il abrite le bureau du Président et des vingt-six commissaires ainsi que leurs cabinets. Outre le collège, il abrite également les services attachés au Cabinet du Président, c'est-à-dire le secrétariat général, le service juridique, les porte-paroles et la direction générale de la presse.

Le Parlement européen installé au célèbre Caprice des Dieux et qui trois semaines sur quatre accueille les eurodéputés pour les sessions plénières additionnelles et pour les réunions de commissions parlementaires et des groupes politiques.

La commission européenne (Le Charlemagne)

Ce bâtiment de verre abrite de nombreux organes de la commision européenne dont ceux en charge de l'élargissement, de l'interpétariat, du Trade ainsi que des Conseillers.

Le Conseil européen (Le Juste Lipse) L'imposante ossature de cet édifice qui fait face au Berlaymont accueille le Conseil européen qui réunit les chefs d'Etas 3 à 4 fois par an. L'édifice accueille également le conseil de l'UE

Le Conseil de l'UE (Le Lex 2000) La surface au sol est de 85.000 m² et le bâtiment compte environ 3000 portes. Le design est basé sur 2 façades en forme de coquilles entourant des bureaux vitrés.

Nous voilà presqu’au terme de notre visite, le Rond-point Schuman et au loin les arches du Cinquantenaire notre circuit est bouclé (+14km).

Parfait ! Merci pour cette belle journée bien orchestrée où les ingrédients mêlés se sont bien assortis, le culturel et le sportif !

Chasse aux trésors (équipe 2)

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La chasse aux trésors (équipe 1)

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jeudi 29 juillet 2010

Chasse aux Trésors

Ce dimanche 25 juillet, nous sommes 34 à nous retrouver pour participer à la Chasse aux Trésors organisée par les ColMar-GeoNel

L'après-midi commence par un jeu de piste dans les bois où 2 équipes vont s'affronter dans diverses épreuves le long d'un parcours flêché ....




Enfilages d'aiguilles sous l'eau...cueillette de diverses plantes, de framboises, de myrtilles, énigmes,  ... trouver des objets insolites dans le bois... (en rapport avec le Tour de France et la pêche par exemple !)



Les participants dans le feu de l'action "loupent" cependant certaines indications ....obligation alors de faire demi-tour...


A la maison, jeu de "massacre" et casse-tête. Le jeu de massacre a permis à certain(e) de se défouler et de s'essayer à des lancers spéciaux digne des meilleurs joueurs de baseball américain.


Après le comptage des points, remise des prix et récompenses...... Notre amie F.aidée de son assistant C.("désigné volontaire")  dans une interprétation très libre du Barbier de Séville de Régiani nous ont fait beaucoup rire


Ensuite, après l'effort le réconfort, afin de récupérer  les calories perdues pendant la marche, apéro...amuse-geule... offert par (encore elle) l'amie F. pour la crémaillère de sa nouvelle maison.

Pour terminer par le BBQ où chacun avait apporté son plat (salade, carottes, taboulé, tomates, ...)


Bénis des Dieux  ou le saint Joseph de Marcel (ne penser pas encore mal !) sous la rhubarbe peut-être ???Car la pluie annoncée ce dimanche après-midi arrive le lundi matin...
Aprés-midi très réussie grâce à la bonne humeur et la conviviabilité de chacun.

Nous sommes toujours heureux de nous retrouver.

Toutes les photos de la journée, ici



samedi 26 juin 2010

En rando aux abords de Goffontaine
(20 juin 2010)


Ciel en berne, soleil en perm, température en méforme ; tels sont les ingrédients au menu des marcheurs en cette veille de l’été. Il ne faut guère attendre pour déjà aborder la montée de Peléeheid suivi du redoutable raidillon vers Cornesse appelé « voye des tchênes à pioux »*
*voie des chênes à poux : selon la légende, un vieux monsieur couvert de poux se reposait sous les chênes en montant sur Cornesse .Il leur avait refilé ses poux. Les vieux chênes ont disparus, espérons les poux aussi.







La tête dans les nuages on admire le vaste paysage du versant opposé où nous serons cet après-midi. Emilie signale, par GSM interposé, qu’elle nous attend à Pepinster.



Il est proche de 11h30’ et, peu avant de s’engager dans la descente vers le »Nonheid », voila qu’un vent d’émeute agite le groupe. Les marcheurs refusent de suivre l’entraineur s’il ne leur accorde pas la pause banane. Conciliant, l’autorisation est accordée. Maintenant, repus et réconciliés avec l’autorité on aborde, à travers un pré aux hautes herbes, la descente.




Devinez la suite … Une nouvelle grimpette à travers bois qui s’achève par l’escalade d’une vingtaine de marches d’escalier. Un léger replat pour jeter un regard sur le château des « Mazures » et un autre sur une ferme en style de chalet bavarois. Après ce court répit, et pour nous ouvrir l’appétit, quoi de mieux qu’une solide montée !














Juste une bonne trentaine de minutes pour avaler le pique-nique et, en avant sur un chemin en légère déclivité vers le « Fond des trois bois ». Mais, dans la région, qui dit val, dit mont ; c’est chose faite grâce à une longue remontée dans les bois de Colonheid. Le peloton peine à suivre un Marcel dopé comme un tigre à la poursuite de sa proie. On va jusqu’à perdre les deux ados du groupe.
Décision immédiate, l’atteler à une laisse pour le freiner. Notre guide fait deux promesses de Normand : ralentir et limiter les côtes. Le moral regagne le groupe, le sommet est atteint, les égarées sont retrouvées. Comme les yeux de Rodrigue pour Chimène, Marcel lorgne vers les myrtilliers bordant le chemin dont l’abondance de baies augure d’une prochaine belle récolte.
Le chemin conduit vers un sentier … en descente, que nous appellerons « la Picherotte » (l’eau y ruisselle souvent en temps de grosses pluies) Au loin, une biche et son faon nous adressent un amical salut. Progressivement se profile le bercail, non sans avoir gravi une dernière « côtelette ». Le chemin longe maintenant la voie de chemin de fer et rejoint les installations du pépiniériste local.



Devant nous, la rue de Flère, la maison des organisateurs de cette journée, la halte avec, en récompense, les bonnes gaufres concoctées par Colette.



 

Avant de tirer la révérence, remercions Colette et Marcel pour cette intéressante découverte d’un nouvel aspect du pépinois tandis que St Joseph, tapi sous une large feuille de rhubarbe n’a pas failli à sa mission d’anti-pluie.

A la prochaine


http://picasaweb.google.be/kobokoboka

lundi 7 juin 2010

Mont-Theux (6 juin 2010)

Mont-Theux (6 juin 2010)




En cette matinée ensoleillée, treize challengers sont au départ, prêts à bondir pour l’épreuve des 17,260 km à travers monts et vaux du Theutois : Nelly, Francine, Mia, Luce, Michèle, Paul, Daniel, Albert et Suzanne, Marcel et Colette, Jacqueline et Jacques ( et Noisette venue compléter le groupe afin d’éviter que nous ne partions à 13).













A l’instant où Jacques, le chef de peloton, veut donner le signal du départ, Michèle s’aperçoit qu’elle n’a pas de chaussettes et Luce qu’elle porte chaussures mondaines aux pieds. Bravant l’ensemble des contraintes routières, elle effectue un Mont-Aywaille à laisser sur place un champion de formule 1. Il est 10h20’, cette fois, on y va.













Après 300 mètres, nous croisons un fermier sur son tracteur, nous prédisant de grosses chaleurs ; malgré tout, nous continuons. Nous marchons au milieu des prés, passant par Wislez, la Cour des Cerfs, Raborive, Sur les Villers … où nous atteignons la fraîcheur du sous-bois pour l’arrêt banane.


 
Peu après, nous visitons la ruine des Dardanelles (cette dénomination proviendrait d’un Juslenvillois du nom de J. Hervé, grand voyageur, qui après un séjour aux Dardanelles, avant le traité des détroits de 1841 était revenu se retirer sur ces hauteurs de Juslenville). Ensuite, plongeon à travers les matitis (questionnez Colette pour la signification de ce terme), direction la Hoëgne, à hauteur du château Rittweger, derrière le manège de Forges Thiry

Nous parvenons à Juslenville petite. A d’la l’êwe (Traduction : Au delà de l’eau) et au lavoir-fontaine restauré en 1991


http://www.sitheux.be/A-d-la-l-ewe-Juslenville-petite


Nous longeons la Hoëgne par la rive gauche pour arriver à la passerelle du quai des Saules à Theux. Nicole nous attend au centre multisports de Juslenville pour le repas de midi. Josette et Francis nous rejoignent également.


Les Franchimontois du Perron




Après le dîner, nous allons prendre un verre place du Perron où nous accueillons Georges. A la sortie du bistrot, le ciel se faisant très menaçant, nous décidons de ne pas allonger la balade en évitant la boucle Chawieumont, Marché. Nous prenons Derrière-Theux où nous sommes surpris par un vent aussi soudain que violent. Heureusement, ce n’est pas un vent de panique qui nous fait rebrousser chemin. La pluie non plus qui vient d’arriver ne nous fait pas renoncer.


Nous continuons notre chemin vers le Stockis, chemin de plus en plus raide qui nous mène à Jevoumont (château Nagelmakers, ferme de la Dîme). Dans ce village, la pluie a abandonné ses assauts, et nous retirons capes ou vestes pour de nouveau exposer nos merveilleux corps bronzé au soleil, quelque peu timoré.


A Jevoumont, l’étirement du groupe nous fait prendre des routes différentes, et après une brève confusion le regroupement a lieu. Le chemin prenant à droite à la sortie de Jevoumont nous mène derrière La Machine (ancien site d’exploitation de minerai de fer) puis à Hodbomont où une chapelle est dédiée à Sainte Geneviève qui est invoquée pour guérir de la « Fièvre lente »



http://www.sitheux.be/Hodbomont


Un dernier arrêt, puis un kilomètre plus loin, nous retrouvons, nos voitures. Les podomètres affichent 16 km 600. Nous rejoignons Theux pour le verre d’adieu et, pour certains, une glace à deux boules de chez le glacier Sim.


Au revoir et à bientôt, à pied, vélo ou en bateau à voile en ajoutant nos remerciements à Jacques et Jacqueline pour cette jolie promenade dans des sites enchanteurs.







Prochaine ballade : le 20.06.2010, Pepinster,
marche de 15 km



contact : Colette et Marcel Houbeau.
087/46.97.32
0498/806328

dimanche 6 juin 2010

13 juin 2010

Vélo à Beringen

voir la grille d'activités

6 juin 2010


RV à 10h, devant le fleuriste de Mont-Theux, au bas de la côte de Mont, à 5 km de Louveigné en direction de Theux, à 2 km de Theux en direction de Louveigné. Adresse : Champfleury, ‎Mont 15, 4910 Theux.

Promenade de 17 km environ sur des chemins ou petites routes, à travers bois, au milieu des prés, en passant par les hameaux et villages de Wislez, Grand Place, la Cour des Cerfs, Sur les Villers, les Dardanelles, Juslenville-Petite et Juslenville, Theux, Chawieumont, Marché, Jevoumont et Hodbmont.




Repas de midi au Beaubourg - Place de Theux près du Perron (soupe possible et boissons).










Renseignements & inscriptions : Jacques et Jacqueline Pirard-Baudinet
04-360 88 99


jeudi 27 mai 2010

Oosduinkerke





Vous êtes invité à voir les photos du séjour à Oostduinkerke

Album
Diaporama

mardi 25 mai 2010

Prochaine activité

Dimanche 30 mai 2010

Marche guidée et commentée
     à Gesves et Mozet

Voir la grille des activités.

Week-end à Oostduinkerke

Vendredi  21/05/2010

Arrivée vers 11:45 h pour certains. Petite balade vers Bray-Dunes (Fr) pour aller manger des frites chez les Ch'tis



Puis retour à l'Auberge de Jeunesse d'Oostduinkerke soit une petite balade de ±45 km.

Samedi 22/05/2010

Tout le monde est arrivé. Nous sommes 17 prêts à affronter les routes de Flandres sur nos fières bicyclettes.




Pour une balade de ± 70 km qui nous conduit entre autres à Dixmude au musée de l'armée pour découvrir le Boyau de la mort, que nous visitons  pendant que Christine garde les vélos

Yser







Source : Musée Royale de l'armée et de l'histoire mililitaire



 Boyau de la Mort "Dixmude"
 
     
"Allied generations" 
Se souvenir pour construire la paix

Cette étroite bande de terre longeant

l’Yser a pour le Ministère de la Défense
une signification toute particulière. Ici se
trouve en effet le dernier élément conservé du
front belge de la Première Guerre Mondiale :
le Boyau de la Mort, un site particulièrement
important pour le « Pôle Historique de
la Défense ». Cette initiative du Ministre de
la Défense, Monsieur André Flahaut et les
investissements consentis dans ce cadre ont
comme objectif la préservation et la
valorisation du patrimoine historique
de la Défense. Ce patrimoine doit permettre
aux jeunes générations de « se souvenir
pour construire la paix ».
oostduinkerke 037 copie

Ce site exceptionnel est aussi un endroit où

des hommes ont souffert. Des milliers de
soldats belges ont livré dans cette région
marécageuse une guerre des tranchées,
une guerre d’usure, une guerre sans fin,
une guerre atroce. Un trop grand nombre
y a perdu la vie en défendant nos libertés.
Ne les oublions pas et ayons une pensée
pour eux. Que leur sacrifice et
leur mémoire nous aident à construire un
 monde de justice et de paix !
Au début de la Première Guerre
mondiale, les troupes allemandes
traversèrent la frontière belge près de
Arlon, en traversèrent rapidement le pays
afin de sécuriser les ports français de
Calais et Dunkerque. Lorsque l'armée
allemande arriva aux environs de Dixmude
en octobre 1914, les Belges avaient inondé
la région en ouvrant les écluses de l'Yser.
La rivière devint une ligne de front. La
ville fut attaquée une première fois
le 16 octobre 1914, ce qui marqua le
début de la bataille de l'Yser.
Le colonel Alphonse Jacques dirigea les
troupes qui empêchèrent la prise de la ville.
Ultérieurement ce militaire a été annobli,
Baron Alphonse Jacques de Dixmude.
À la fin des combats, la ville était en ruine.
Elle fut reconstruite durant les années 1920.


 
 
Le tour cycliste continue le long de différents canaux



Nous rentrons à l'Auberge vers 16:30 h pour une séance d'étirements bien méritée.
Ensuite,  le chef et la sous-chef offrent l'apéro (blanc coca et vin blanc)
Après un souper (simple mais bon) nous allons nous promener à pied sur la plage et la digue où nous découvrons la reine des bières aux 3 grains (Tripel Karmeliet)


Dimanche 22/05/2010

Le "chef"  en tête de file et la "sous-chef" en queue de peloton, nous emmènent aujourd'hui sur la belle place de Veurne.
Le soleil est présent et nous nous méfions des coups de soleil en nous enduisant copieusement de crème solaire (bio pour Brigitte).
Nous découvrons au cours de la promenade :
  • Le Château de Beauvoorde - Wulveringem (Furnes)













Le château de Beauvoorde est situé dans un coin d’ambiance poétique de Furnes. Les visiteurs y rencontreront le personnage un peu excentrique d’Arthur Merghelynck, tandis que l’audio guide les plonge dans l’histoire multicolore du site. Découvrez les pièces de style renaissance, dotées d’une collection unique de mobilier et d’objets d’art. Dans le centre de visite vous retrouverez toutes sortes d’information sur l’offre touristique, culturelle et récréative de la région. Le magasin du musée vous présente une multitude d’éditions, de cartes postales, de produits du terroir et de gadgets de poésie. Le beau jardin franco-anglais invite les promeneurs et les cyclistes à la détente.

  • Le Markeymolen

A hauteur de Lo, le long d'un canal le moulin date de 1797.

Nous mangeons notre lunch-packet dans un bistrot situé le long du canal. C'est là que Noëlle et Roland nous quittent. Le soleil tape tellement que certain s'invente des protections sans souci du ridicule (pardon Arthur)


Et nous continuons notre randonnée en croisant toute sorte de  promeneurs




Après 65 km la balade se termine à la terrasse d'un café près de l'Auberge.
 
Ensuite,  le chef et la sous-chef re-offrent l'apéro
et la soirée se termine de nouveau au Rubbens sur la digue avec une énoooorme glace.
 
Lundi 24/05/2010
 
 
La journée sera courte. Avec le monde qu'il y a sur la Côte, nous redoutons les bouchons du retour et nous avons décidé de quitter la mer à 15:00 h au plus tard.
Nous nous rendons à vélo jusqu'à  une entrée du Westhoek pour y faire une promenade pédestre.

 










Merci aux GO pour le séjour et à l'année prochaine .......